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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
Au fil des jours
De la fin des 35 heures à la réforme des retraites, les "modernes" ne sont pas pour le progrès social...
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
Entreprise de démolition
Dans le cadre du démantèlement du secteur public, c’est maintenant la recherche scientifique qui est attaquée de tous côtés, à l’aide d’arguments de mauvaise foi.
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
La démocratie dans l’union européenne
Réflexions à propos du second referendum soumis aux irlandais.
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
Vaux le Vicomte profitera-t-il de la chute de Vivendi ?
J-M Messier avait imposé ses décharges au voisinage du château...
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
Loin de tomber dans le culte de la personnalité, sur les quelque 200 pages du magazine dont il est directeur, Monsieur Denis Jeambar n’accorde pas plus que le tiers d’une page à son propre éditorial. Ecrit en tout petits caractères, celui-ci risque même de passer inaperçu et ce serait dommage. Dans L’Express du 17 octobre, cet éditorial brossait en effet un tableau, un peu forcé semble-t-il, de la situation privilégiée des fonctionnaires, ce qui avait pour résultat étonnant, dans un magazine d’obédience capitaliste, de faire apparaître en contrepartie les travailleurs du privé comme de vrais forçats. Quand une “grande gueule” du monde syndical clamait que les patrons faisaient “crever” les travailleurs, cela ne s’entendait encore qu’au sens figuré, mais Denis Jeambar affirme ici au contraire que c’est de façon bien réelle que ceux-ci sont spoliés de plusieurs années de leur vie.
Paul Vincent s’est permis de lui faire part des inquiétudes qu’un tel éditorial pouvait susciter. Voici la copie du message qu’il lui a adressé le 8 novembre :
L’existence “express” des travailleurs du privé
Public-privé : réplique à l’hebdomadaire "l’Express".
Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
La chasse aux fonctionnaires
Alors que Paul Vincent nous appelle à une plus grande fraternité, la droite ultra-libérale, à la botte du Medef, appelle à “la chasse aux fonctionnaires”. En son temps, Raymond Barre, haut fonctionnaire lui-même, avait, dans le cadre de sa “politique de rigueur”, déjà tenté de “monter” la“ France d’en (...)
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 27 novembre 2006
Partie I.1 Ni blé, ni oseille, l’air d’une promesse - GR 1027
Partie I.2 L’effet multiplicateur de crédit - GR 1028
Partie II.1 De l’étalon-or au tournant libéral - GR 1029
Partie II.2 FMI et dette du Tiers monde - GR 1030
Partie III.1 Que cachent certains termes ? L’échange - GR 1030
Partie III.2 Que cachent certains termes ? La valeur et Les fonctions de la monnaie - GR 1031
Partie IV. Conséquences d’une monnaie de dette - GR 1032
Partie V. Les grandes théories monétaires - GR 1033
Nos fidèles lecteurs se souviennent que nous les avions informés de la création d’un groupe de réflexion sur la monnaie. Ce groupe, d’une dizaine de personnes, s’est réuni 18 fois en deux ans, et a fait, le 13 novembre dernier, un premier exposé portant sur le début de son rapport.
Le public avait été attiré par la réflexion suivante :« Beaucoup de critiques se portent sur la spéculation entre monnaies, sur l’existence de paradis fiscaux et l’argent sale, sur la privatisation des services publics, et beaucoup d’autres problèmes d’ordre financier sont posés, tels que le paiement des retraites, la dette du Tiers monde ou le rôle joué par les institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale), et pourtant jamais on ne remet en cause ce qui est commun à tous ces dysfonctionnements : l’argent. Pourquoi ne pas aborder ce thème central, la nature de la monnaie, sa fabrication, sa masse, son rôle, etc ? Pourquoi le citoyen qui refuse de subir la dictature des marchés ne remet-il pas en question l’outil de cette dictature ? Laisser ce domaine aux experts c’est en faire un domaine réservé échappant à tout contrôle, alors que la monnaie est l’un des instruments les plus couramment utilisés par tous les membres de la société humaine. »
Voici, en résumé, le début de ce premier exposé :
Étude de la monnaie : Ni blé, ni oseille, l’air d’une promesse
Les trois formes de la monnaie légale (pièces, billets et comptes à vue) origine, nature, mode de création et garantie.
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 28 novembre 2006
Dans un premier article, qui suit, Roland Poquet introduit, sous forme de litanies, ce qui pourrait constituer le bréviaire des opposants à l’économie capitaliste de marché. Dans un second il ouvrira le champ de la réflexion en vue de faire surgir une alternative : modèle ? projets ? perspectives ?
I . Litanies
Liste de ce qui constitue le bréviaire de tous ceux qui s’opposent à l’économie de marché capitaliste.
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 28 novembre 2006
Communautarisme et tribalisme
En détournant le sens des mots, on confond des communautés de l’économie solidaire, ouvertes au milieu social, avec ceux qui préfèrent, au contraire, vivre en ghettos sociaux, voire ethniques ou culturels.
Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 28 novembre 2006
Éliminer la grande pauvreté
Le Conseil économique et social a adopté l’idée que la lutte contre la pauvreté doit enfin devenir un objectif pour l’Union européenne. Dans son rapport publié le 28 octobre au Journal officiel il affirme en effet : « Il convient également d’intégrer la base juridique claire que le traité de Nice (...)
Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 28 novembre 2006
Et vive la guerre !
Il n’y a plus de honte, hors période électorale, à être hyperréactionnaire. Après Denis Jeambar qui trouve que les fonctionnaires vivent trop vieux, voici textuellement ce que relate le dernier Canard : Francis Mer (Ministre de l’économie et des finances) a jeté un froid en conseil Conseil des (...)
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Publication : décembre 2002
Mise en ligne : 28 novembre 2006
Dans notre numéro d’octobre, Rémy Mourin avait dédié ses vers à son ami “Prolo”. Celui-ci lui répond :
La réponse
Dans notre numéro d’octobre, Rémy Mourin avait dédié ses vers à son ami “Prolo”. Celui-ci lui répond : Intello, mon ami, je t’écoute et souris… car j’ai lu ta revue. Tu veux que je comprenne les causes de ma peine et je te remercie. Comprends bien à ton tour, l’affaire est difficile. Où veux-tu que (...)