G. EVRARD


Articles de cet auteur


par  G. EVRARD
Publication : novembre 2011
Mise en ligne : 3 mars 2012

Lorsque s’est manifestée la volonté des Etats de faire payer l’addition de la crise financière aux peuples, la question de la dette publique a envahi les médias. Le plus souvent, ceux-ci se sont fait les porte-voix des gouvernants, tentant de justifier leur stratégie au service du capitalisme. Mais de plus en plus de voix se joignent aux protestations populaires contre les politiques d’austérité et l’arrogance des financiers. Guy Evrard considère que s’attacher à une lecture simple des mécanismes de la dette éclaire des choix politiques fondamentaux :

La dette publique pour les nuls

Guy Evrard s’attache à une lecture simple de la dette publique en France.


par  G. EVRARD
Publication : octobre 2011
Mise en ligne : 1er mars 2012

Lors d’un Café Repaire à Marly-le-Roi, le 24 septembre dernier, Gérard Le Puill a présenté son dernier livre aux lecteurs de La Grande Relève et mis en évidence, au cours du débat qui a suivi, l’alliance nécessaire des citoyens et des paysans afin de sauvegarder une agriculture de qualité et l’autonomie alimentaire de notre pays… Guy Evrard commente ici ce livre et ce débat :

Bientôt nous aurons faim ! À moins que…

Guy Evrard a accueilli, au nom de La Grande Relève et pour une conférence suivie d’un débat, l’auteur du livre paru sous ce titre, Gérard Le Puill. Dans son compte-rendu, il montre toute la portée des réflexions de “cet homme de terrain”.

Réflexion
par  G. EVRARD
Publication : juillet 2011
Mise en ligne : 20 janvier 2012

Répondant à ce souci exprimé par B.Blavette, Guy Evrard résume l’enchaînement des idées qui le conduisent aujourd’hui à proposer d’inscrire dans un projet politique la mise en place d’une structure chargée d’étudier et de suivre en permanence les équilibres de notre biosphère, afin d’observer et de réguler l’influence des activités humaines. Cette structure aurait un devoir d’alerte et ouvrirait un nouvel espace à la démocratie pour les choix de société.

Des sciences citoyennes pour un projet politique

Guy Evrard, comme en réponse à la réflexion précédente, propose de mobiliser des sciences citoyennes pour la surveillance de notre biosphère, au cœur d’un projet politique.


par  G. EVRARD
Publication : juin 2011
Mise en ligne : 12 octobre 2011

Nous analysons souvent, dans ces colonnes, la désespérance de nos concitoyens par l’incapacité des forces politiques et syndicales qui se réclament de la gauche à promouvoir des idées de transformation politique et sociale en rupture avec le capitalisme (ainsi, dans la GR 1116, Bernard Blavette fustigeait « syndicats réformistes » et « partis politiques déliquescents », plus loin, dans le présent numéro, dans la foulée du 1er mai, Christian Aubin condamne « la collaboration de classe » des directions syndicales). Après un échange avec Bernard Blavette dans la GR 1117, Guy Evrard revient ici sur le risque qu’il y a à jeter le discrédit sur des organisations qui constituent, malgré tout, un contre-pouvoir à une droite qui dérive vers l’extrême. En effet, à la lumière des révoltes en cours dans les pays arabes et en relisant l’histoire de la Commune de Paris, il soutient que la présence de forces politiques d’opposition organisées, lorsqu’un profond changement est en marche, est une condition nécessaire à la transition démocratique. Mais, en définitive, ce sont l’unité et la force du mouvement populaire qui décident de la suite.

Réferences : GR 1116 : Bernard Blavette, De l’aliénation à la libération ; GR 1117 : Guy Evrard, Une analyse pessimiste et Bernard Blavette, Plutôt une régression dans la réflexion des politiques ; GR 1121, (ci-dessous, p.14) : Christian Aubin, Il n’est pas de progrès sans lutte.

La démocratie, dans l’urgence

Pour Guy Evrard, construire la démocratie sur un vide politique ne serait pas sans risque.

Réflexion
par  G. EVRARD
Publication : avril 2011
Mise en ligne : 8 mai 2011

La controverse trop médiatisée sur la réalité du changement climatique et ses causes principalement anthropiques, en franchissant l’enceinte de l’Académie des sciences, en France, a frôlé le ridicule. Pour Guy Evrard, outre qu’elle peut justifier l’inaction, son instrumentalisation évite surtout une autre controverse, bien plus politique, sur la responsabilité du libéralisme économique, son incapacité à remédier aux désordres qu’il génère et, pire encore, sa volonté d’ouvrir un nouveau domaine marchand. De façon plus générale, elle masque l’incurie du productivisme. Il s’agit bien d’esquiver un véritable débat sur notre système économique et social, qui jetterait les bases d’un autre avenir. C’est donc la démocratie qui est interrogée dans la deuxième partie de cet article, dont le début I a été publié dans GR 1118.

II. Changement climatique : De la controverse au débat démocratique

Pour Guy Evrard, la controverse sur la réalité du changement climatique occulte un véritable débat sur la responsabilité du libéralisme économique et du modèle productiviste.

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