G. EVRARD
Articles de cet auteur
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Mise en ligne : 31 mars 2011
La controverse trop médiatisée sur la réalité du changement climatique et ses causes principalement anthropiques, en franchissant l’enceinte de l’Académie des sciences, en France, a frôlé le ridicule. Pour Guy Evrard, outre qu’elle peut justifier l’inaction, son instrumentalisation évite surtout une autre controverse, bien plus politique, sur la responsabilité du libéralisme économique, son incapacité à remédier aux désordres qu’il génère et, pire encore, sa volonté d’ouvrir un nouveau domaine marchand. De façon plus générale, elle masque l’incurie du productivisme. Il s’agit bien d’esquiver un véritable débat démocratique sur notre système économique et social, qui jeterait les bases d’un autre avenir.
I - Changement climatique : de la controverse au débat démocratique
Pour Guy Evrard, la controverse sur la réalité du changement climatique occulte un véritable débat sur la responsabilité du libéralisme économique et du modèle productiviste.
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Publication : février 2011
Mise en ligne : 19 mars 2011
L’article de Bernard Blavette, intitulé De l’aliénation à la libération, paru dans La Grande Relève 1116, a suscité les réflexions suivantes de la part de Guy Evrard :
Une analyse pessimiste ?
Guy Evrard ayant trouvé quelque pessimisme dans l’article “De l’aliénation à la libération” (GR 1116)...
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Publication : janvier 2011
Mise en ligne : 10 mars 2011
La relève, inattendue…
Guy Evrard a rencontré de jeunes étudiantes brésiliennes qui avaient leur opinion à propos des raisons de l’acclimatation en France d’animaux exotiques !
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Mise en ligne : 31 décembre 2010
Dès la première journée des grandes manifestations d’opposition à la contre-réforme des retraites, un slogan est apparu dans la foule, qui suscita l’intérêt des participants eux-mêmes.
Pour Guy Évrard, en dépit de l’issue provisoire du conflit social, c’est le signe encourageant de consciences qui ont résisté, longtemps en silence, au néolibéralisme triomphant.
Je lutte des classes
Guy Evrard voit dans le succès de ce slogan, arboré lors des manifestations contre la réforme des retraites, le signe encourageant de consciences qui ont résisté au néolibéralisme triomphant.
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Mise en ligne : 31 octobre 2010
Dans notre précédent numéro, Guy Evrard, sous le titre L’individu et l’État, de Benjamin Constant à André Gorz, invitait le lecteur à réfléchir sur les contours de l’économie distributive, en particulier dans une inévitable situation de transition, afin que cet îlot d’émancipation ne soit pas irrémédiablement noyé dans un océan d’incrédulité, face aux marchés.
C’est peut-être d’abord en sortant de la confusion entre marché et capitalisme que l’utopie peut commencer à prendre racine. Une invitation à entrer de nouveau dans le débat.
Économie distributive et marché
Guy Evrard s’interroge sur l’articulation, dans une inévitable transition, entre les fondations d’une économie distributive et la survivance de marchés.