B. BLAVETTE
Articles de cet auteur
par
Mise en ligne : 31 août 2009
Dans son premier article sur L’imposture capitaliste, Bernard Blavette soulignait, dans La Grande Relève de juillet, les mystifications théoriques sur lesquelles repose l’idéologie capitaliste, cette dernière n’étant rien de plus qu’un nouveau système de domination. Le titre du second, ci-dessous, fait référence à la théorie de Francis Fukuyama, mais il la détourne du sens voulu par son auteur, pour qui le néo-libéralisme constitue un horizon indépassable : Bernard Blavette tente d’exposer quelle pourrait être l’évolution du capitalisme face aux bouleversements que nous vivons.
D’aucuns ne manqueront pas de trouver ce texte extrêmement pessimiste. Cela est vrai. Cependant, même si ce scénario possède un degré de probabilité non négligeable, il n’est en aucune manière écrit d’avance. Nombre d’évènements imprévisibles peuvent survenir, et, surtout, la résistance des peuples peut s’avérer plus farouche que tout ce que l’on peut prévoir aujourd’hui, leur imagination féconde peut engendrer d’autres possibles.
II. L’imposture capitaliste - La fin de l’histoire
Bernard Blavette voit, dans les bouleversements que nous vivons, une évolution du capitalisme qui mène à une tout autre fin de l’Histoire que l’idéal selon Fukuyama.
par
Mise en ligne : 31 juillet 2009
La situation particulière de notre temps, à l’orée d’un nouveau millénaire et affecté de désordres globaux d’une ampleur inégalée jusqu’ici, incite Bernard Blavette à interroger : comment et pourquoi en sommes nous arrivés à la situation actuelle, dans laquelle dominent le désarroi et un sentiment d’impuissance face aux maux (crise économique, écologique, éthique) directement générés par notre agir ?
Répondre à cette question pourrait ensuite permettre de formuler quelques hypothèses sur le futur, sur les dangers et les chances qui se profilent. Il faudra pour cela jeter un coup de projecteur sur le passé, sur 2000 ans de civilisation judéo-chrétienne pour s’efforcer de cerner les origines, les fondements et la signification de l’idéologie capitaliste aujourd’hui dominante. Bernard Blavette nous engage donc dans un survol, dont il avertit qu’il est sans doute un peu risqué, de quelques moments fondateurs qui ont marqué et orienté notre civilisation jusqu’à ce jour.
I. L’imposture capitaliste
Bernard Blavette s’interroge : comment et pourquoi en sommes-nous arrivés à être dominés par un sentiment d’impuissance face aux maux directement générés par notre agir ?
par
Mise en ligne : 31 mars 2009
Le mot utopie fait partie de ces termes à connotations multiples qui prennent un sens différent en fonction de celui qui les utilise. Ainsi pour certains, une utopie désigne un projet dont la réalisation est totalement impossible et qu’il ne faut pas prendre au sérieux ; pour d’autres il évoque même un régime dictatorial qui vise à répandre un bonheur uniforme et obligatoire.
Le texte ci-dessous ne prétend pas à l’exhaustivité et propose une autre vision de l’utopie, personnelle à son auteur.
Voyage en utopies
Bernard Blavette, s’appuyant sur l’étude de l’Histoire, propose sa vision de l’utopie.
par
Mise en ligne : 28 février 2009
C’est un dossier essentiel qu’ouvre ici Bernard Blavette : celui de la démocratie. Il l’aborde par une des manifestations les plus efficaces, mais trop souvent ignorée, de son mépris, voire de son déni : l’intervention des lobbies.
Les lobbies contre la démocratie
Bernard Blavette rappelle que l’intervention des lobbies consiste à défendre des intérêts particuliers au détriment de l’intérêt général et il décrit certains d’entre eux, leur histoire.
par
Mise en ligne : 31 janvier 2009
Mais pourquoi tant de gens pensent-ils “qu’il n’y a pas d’alternative” ? Comment ont-ils été persuadés que les règles économiques actuelles sont aussi impénétrables qu’intouchables ? Pourquoi admet-on si facilement qu’il est impossible de changer notre système financier, qui s’avère catastrophique, et qu’on ne peut, au mieux, que chercher comment le réglementer ? Bernard Blavette a entrepris de mener l’enquête en faisant appel à quelques penseurs reconnus.
De la soumission à la renaissance ?
Bernard Blavette, en faisant appel à quelques penseurs, cherche à comprendre pourquoi tant de gens sont persuadés ”qu’il n’y a pas d’alternative”.