F. CHATEL
Articles de cet auteur
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Publication : décembre 2009
Mise en ligne : 1er janvier 2010
François Châtel dénonce l’illusion d’un développement à la fois soutenable et capitaliste !
Le développement souhaitable
François Châtel dénonce l’illusion de croire possible un développement durable et … capitaliste !…
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Mise en ligne : 31 octobre 2009
La mondialisation, telle que nous la vivons aujourd’hui, s’est faite sous l’impulsion du commerce. François Chatel plaide pour qu’une autre mondialisation, motivée par la conscience que nous sommes tous responsables de notre planète, se fasse sur la base du partage objectif de ses ressources.
La mondialisation, un atout pour l’économie distributive ?
La mondialisation, telle que nous la vivons aujourd’hui, s’est faite sous l’impulsion du commerce. François Chatel plaide pour qu’une autre mondialisation, motivée par la conscience que nous sommes tous responsables de notre planète, se fasse sur la base du partage objectif de ses ressources. La (...)
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Mise en ligne : 31 août 2009
Les institutions et l’économie distributive
Pour François Châtel, il reste une lueur d’optimisme, une alternative aux systèmes économiques qui ont montré leurs effets catatrophiques, c’est la démocratie d’une économie distributive.
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Mise en ligne : 30 juin 2009
Abolition du salariat et conséquences
François Châtel prône la fin du salariat en en montrant les avantages et en soulignant l’importance de l’égalité économique.
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Mise en ligne : 30 juin 2007
L’un des trois principes fondamentaux de l’économie distributive ou économie de partage, fixe la masse monétaire créée pendant une période donnée à l’équivalent de la masse des productions créées et mises en vente au cours de cette même période. De cette masse disponible sont extraits les moyens de financer, pendant la période suivante, une nouvelle production et le fonctionnement des services publics. Le reste constitue la masse totale des revenus individuels.
Un autre principe de cette économie est que chaque individu doit recevoir, de la naissance à la mort, un revenu social suffisant pour pouvoir en vivre décemment, donc librement.
Or, dans nos pays équipés, il faut prévoir que cette masse disponible pour les revenus individuels puisse excèder le financement du revenu social garanti. La répartition d’un “supplément” disponible pose alors un problème politique. Il peut servir, comme le suggèrait déjà Jacques Duboin, à augmenter égalitairement, en tout cas à âge égal, le montant du revenu social individuel. C’est cette politique que défendait François Châtel dans la GR 1073 de février dernier, estimant que c’est la marque d’une société évoluée que ses membres soient capables d’assumer les tâches nécessaires sans y être incités par un surplus de revenu. Mais Caroline Eckert, dans la Tribune libre de la GR 1075 d’avril, soulevait alors la question des tâches pénibles, inintéressantes mais nécessaires : comment les assurer en économie de répartition sans l’appât d’une prime ? À quoi Éric Goujot répondait (GR 1076) qu’admettre l’idée d’un “salaire” additionnel c’est retomber dans la compétitivité et les surenchères, et que mieux valait donc compenser des efforts particulièrement courageux par plus de temps libre. François Châtel revient ici sur le principe de l’égalité des droits économiques :
À propos de l’égalité des revenus.
François châtel revient sur un problème politique en économie distributive.