Michel Berger s’applique, avec optimisme, à chercher comment l’humanité peut encore espérer survivre aux multiples problèmes que posent la menace de réchauffement climatique et la complexité des intérêts qui s’opposent pour le maîtriser.

Michel Berger, commentant le texte de Guy Gourevitch “La boîte de Pandore” (GR 1186) et inspiré par la lecture de “l’homme inutile” de Pierre-Noël Giraud, tente de continuer à refaire le monde sans s’interdire de plonger dans l’utopie nécessaire.

Michel Berger, poursuivant son exposé sur l’énergie, souligne la multitude des effets contraires auxquels nous sommes confrontés et des sacrifices qu’il va falloir faire.

Michel Berger continue de passer en revue certaines vérités concernant l’énergie : celles qui sont encore disponibles, l’usage qui en est fait inégalement dans le monde, et en particulier en France, les choix politiques engagés et leurs effets comparés aux impératifs de la transition qui s’impose.

Michel Berger entreprend de rappeler certaines vérités ou définitions élémentaires pour aider à ne pas être dupe des affirmations de ceux qui ont intérêt à nier que le réchauffement climatique impose des contraintes sur la consommation d’énergies.