G. STEYDLÉ
Articles de cet auteur
par
Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Quand on ne sait quel argument nous opposer, il arrive souvent qu’on nous traite, c’est si facile, d’utopistes que personne ne prend au sérieux. Bien au contraire, la lecture des journaux montre que de plus en plus nos idées font leur chemin. Elles sont reprises un peu partout.
Avec l’aide de nos lecteurs attentifs à l’actualité, G. Steydlé entreprend ici d’en rendre compte.
Ils y viennent !
Quand on ne sait quel argument nous opposer, il arrive souvent qu’on nous traite, c’est si facile, d’utopistes que personne ne prend au sérieux. Bien au contraire, la lecture des journaux montre que de plus en plus nos idées font leur chemin. Elles sont reprises (...)
par
Publication : septembre 1977
Mise en ligne : 18 avril 2008
La vérité en marche
Il faut de la patience pour connaître la Vérité. Il en faut bien plus encore pour la répandre. Albert CHANTRAINE DANS « La Grande Relève » n° 748 de juillet 77, on pouvait lire sous la plume de Marie-Louise Duboin dans le cadre de son editorial, un article intitulé : (...)
par
Publication : octobre 1981
Mise en ligne : 26 mars 2008
Poésie et rentabilité
On peut lire dans « Le Miroir du Centre » (1) un article intitulé « Paroles à crier pour que la Terre puisse encore tourner » dont nous extrayons les lignes suivantes : ...« Paris se croit encore le nombril de l’art parce qu’il y a eu la place du Tertre, livrée (...)
par
Publication : février 1977
Mise en ligne : 17 mars 2008
Pourvu que le profit demeure
Les effets néfastes du système capitaliste ont des répercussions jusque dans les plus hautes sphères de notre belle civilisation. En quelques mois, une série de tragédies a anéanti plusieurs familles dont on peut affirmer que le standing de vie dont elles (...)
par
Publication : octobre 1976
Mise en ligne : 11 mars 2008
Méfaits divers
Dans un petit village près de Troyes, huit personnes, dont cinq enfants, périssent dans l’incendie de leur maison. (Les journaux du 11-10-76). « La maison était faite de matériaux très inflammables. Il s’agissait d’une construction plus que vétuste, (...)