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Mise en ligne : 31 mai 2007
Éditorial
Jean-Pierre mon souligne l’importance de quelques vérités que les candidats, par exemple aux prochaines législatives, auraient intérêt à connaître.
Mise en ligne : 31 mai 2007
Ce sont les investissements financiers, dans telle entreprise, tel secteur ou tel domaine d’activité plutôt que dans tout autre, qui déterminent l’orientation de l’économie. Or ces choix sont faits, actuellement, par ceux qui “placent” les capitaux. Et ils en décident sur des critères de rentabilité, exclusivement. Il est temps que s’ouvre enfin un débat pour décider qui doit avoir le pouvoir d’exercer ces choix, qui sont essentiels pour l’avenir de la société humaine : ce pouvoir doit-il rester hors des responsabilités politiques ou bien doit-il être démocratiquement partagé ?
Et si la voie démocratique doit être préférée à la main invisible du marché, comment organiser ce partage ?
Dans son livre “Mais où va l’argent ?” M-L Duboin décrit le rôle aujourd’hui dévolu au pouvoir financier et fait trois propositions. C’est donc autour du contenu de ce livre que nous invitons nos lecteurs à débattre dans nos colonnes.
Pour qui pousse le blé ?
Ce sont les investissements financiers, dans telle entreprise, tel secteur ou tel domaine d’activité plutôt que dans tout autre, qui déterminent l’orientation de l’économie. Or ces choix sont faits, actuellement, par ceux qui “placent” les capitaux. Et ils en décident sur des critères de rentabilité, (...)
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Mise en ligne : 31 mai 2007
La première contribution à cette nouvelle rubrique nous a été adressée par Gérard-Henri Brissé. Partant de la lecture du livre, il en donne son interprétation en soulignant ce qui l’a le plus frappé, et il termine par ses propositions personnelles :
Pour une économie de répartition
Gérard-Henri Brissé a lu “Mais où va l’argent ?”, il commente et avance des propositions personnelles.
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Mise en ligne : 31 mai 2007
Dés le 22 mars, le célèbre et brillant économiste Bernard Maris, (auteur, entre autres, de deux “antimanuels d’économie” publiés chez Bréal) réagissait avec enthousiasme à l’envoi de “Mais où va l’argent ?” en lui consacrant sa minute tôt matinale et quotidienne intitulée L’autre économie sur les ondes de France Inter. En voici le texte :
Où va l’argent ?
Bernard Maris réagit sur France Inter, dès la réception de “Mais où va l’argent ?”
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Mise en ligne : 31 mai 2007
Autre occasion de réflexion pour savoir pour qui pousse le blé : la conférence magistralement bien organisée par Sébastien Houssin à l’Université de Haute Alsace, dans le cadre du DEA d’économie sociale et solidaire, le 4 avril dernier.
Sur le thème Monnaie et société, M-L Duboin montra les effets pervers de la monnaie de dette, cette monnaie bancaire qui supplante, partout, et de très loin, toutes les monnaies légales. Elle conclut sur la nécessité d’une monnaie distributive, permettant une économie alternative, basée sur la solidarité et le partage, et dont elle esquissa les grandes lignes.
Sébastien Houssin nous enverra bientôt le compte-rendu de cette conférence, il le prépare en s’appuyant sur les réflexions que lui feront les étudiants et les personnalités qu’il avait invités. Mais l’une de ces dernières a posé, au cours du débat, une question qui est d’actualité en cette période électorale. Cette question était, en substance : « l’économie distributive que vous décrivez est une économie des besoins, puisqu’elle implique que le revenu de chacun sera fonction de ses besoins. Ne s’agit-il donc pas d’une nouvelle forme de communisme, dont on sait qu’il mène à la dictature ? »
Voici quelques éléments de la réponse à cette question :
Monnaie et société
Marie-Louise Duboin répond à une question posée au cours du débat qui suivit son intervention à l’université de Haute Alsace.
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Mise en ligne : 31 mai 2007
Dans notre précédent numéro, un étudiant en sociologie de l’université de Nancy, Axel Othelet, sous le titre “Pour une révolution écolologique” lançait un cri d’alarme, et citant Hervé Kempf, il appelait les autorités à imposer un « grand coup de frein à l’accélérateur du modèle de développement des pays riches » par une contrainte forte à l’égard des individus responsables de gâchis. Dans la réflexion ci-dessous Roland Poquet, qui se réfère au même ouvrage de Kempf, vient à point pour rebondir sur ce sujet :
L’effet pour la cause
Roland Poquet explique que si les riches détruisent la planète, c’est parce que le système économique les y incite et leur en fournit les moyens.
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Mise en ligne : 31 mai 2007
Prédestination
Paul Vincent a trouvé un texte de Max Weber qui montre quelle construction on peut échafauder si on admet totalement, comme Sarkosy, la prédestination.
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Mise en ligne : 31 mai 2007
Nicolas, les candidats,… et nous !
Henri-Claude Matton rappelle l’engouement éphémère que suscita Nicolas Hulot et sa Charte. L’absence totale d’effet lui prouve qu’on a les candidats qu’on mérite !
Mise en ligne : 31 mai 2007
Alors qu’on constate en France l’échec de l’anti-libéralisme aux Présidentielles, d’autres pays osent réagir contre la main mise de la finance sur le monde, le Vénézuela et l’Équateur, par exemple. Ce dernier vient d’expulser le délégué de la Banque mondiale et n’écarte pas la possibilité de poursuivre cette institution en justice pour cause de “dette illégitime”. Yves Pitchen nous envoie l’information tirée du quotidien équatorien El Universo du 28 avril, transmise sur Internet à l’adresse www.cadtm.org du Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers monde :
L’ Équateur expulse le délégué de la Banque mondiale
... dont le représentant a été expulsé du pays, qui va aussi réagir à la façon dont les prêts de la Bm lui ont été octroyés.
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Mise en ligne : 31 mai 2007
La Gambie bat le record du monde de l’accueil des étrangers
Roger Winterhalter témoigne que cet accueil est une leçon de fraternité.
Mise en ligne : 31 mai 2007
Jean-Claude, un de nos lecteurs, feuilletait récemment un journal destiné aux professionnels de la santé, un organe qu’on ne saurait imaginer trop constestataire. Il y trouva une analyse, présentée sans fard, dont la lucidité est fort éloquente. Et comme elle est d’actualité, il nous l’a envoyée pour la soumettre au jugement de lecteurs qui hésiteraient entre deux systèmes économiques. En voici le texte :
Bouygues : un destin lié au scrutin présidentiel
Un journal des professionnels de santé explique clairement que l’élection du candidat libéral serait favorable aux intérêts financiers d’un groupe comme Bouygues.