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Publication : janvier 2015
Mise en ligne : 5 avril 2015
Notre vœu pour 2015 : avoir le courage de garder l’espoir !
Marie-Louise Duboin après avoir rappelé la raison d’être de ce journal, incite ses lecteurs à agir, mais pas seulement sur les effets de la politique économique mondiale : c’est leur cause qu’il faut supprimer pour que ce monde qui s’écroule face place à celui, plus humain, qui est à notre portée.
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Publication : janvier 2015
Mise en ligne : 7 avril 2015
Au fil des jours
Jean-Pierre Mon cite le livre récent de N. Klein pour montrer que le capitalisme s’oppose à toute mesure internationale qui aurait pour objectif de limiter l’échauffement climatique, et il s’étonne, encore une fois, de l’aveuglement des gouvernements en matière de création d’emplois.
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Publication : janvier 2015
Mise en ligne : 7 avril 2015
On s’habituerait presque à apprendre chaque jour un nouveau fait de corruption ! Il faut pourtant prendre conscience que lorsque des “décideurs” de premier plan se compromettent, c’est toute la société qui en subit les conséquences. En abordant ce sujet, Bernard Blavette ouvre un débat qui est essentiel pour comprendre le message des “distributistes” :
L’organisation de la corruption : le jeu dangereux de l’oligarchie dominante
Bernard Blavette explique, documents à l’appui, comment la corruption des “élites” mondiales entraîne vers l’abîme, peut-être irrésistiblement, l’humanité toute entière.
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Publication : janvier 2015
Mise en ligne : 11 avril 2015
Après l’article de Benjamin publié dans GR1142, intitulé De gauche ou socialiste ?, Guy Evrard tente ici d’éclairer le sujet, en particulier par rapport à la question centrale de la remise en cause du capitalisme :
La “gauche” et le capitalisme aujourd’hui en France
1. Le poids de l’histoire
Guy Evrard s’interroge sur ce que recouvre l’étiquette “de gauche“ aujourd’hui en France.
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Publication : janvier 2015
Mise en ligne : 11 avril 2015
Comme elle l’exposait ici récemment, Fanny Evrard a pris conscience qu’imposer le “globish” renforce l’hégémonie du capitalisme anglo-saxon dans les relations internationales. Son article a inspiré un fidèle lecteur, René Ballaguy, qui montre ici que l’espéranto, au contraire, véhicule une "supra-culture" qui n’efface pas les autres :
L’espéranto, vecteur de cultures
René Ballaguy revient sur cette langue pour montrer comment elle est porteuse d’une culture supranationale d’entente et de paix.