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Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 3 janvier 2014
Au fil des jours
Jean-Pierre Mon apporte la confirmation que les racines de la “crise” sont antérieures au tournant libéral des années 1980. Et les performances des automates hyperrapides qui nous pilotent ne le rassurent pas !
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Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 3 janvier 2014
En hommage à Albert Jacquart, avec qui j’ai eu, en plusieurs occasions, la chance de pouvoir échanger nos réflexions et nos aspirations vers un monde plus intelligent, et gardant de ce sage si discret et si courageux un souvenir profondément ému, je ne résiste pas à l’envie de reproduire le texte ci-dessous, que L’Humanité avait publié le 22 mars 1999.
M-L D.
Moi, Albert Jacquart, Ministre de l’éducation nationale, je décrète :
Albert jacquart, bien trop peu écouté, avait pourtant de sages propositions pour une éducation nationale, saine et intelligente, comme nous la souhaitons.
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Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 3 janvier 2014
Poursuivant cette réflexion, abordons la question de la langue utilisée dans l’éducation nationale. Un des moyens de coloniser un pays consiste à y introduire la langue du colonisateur dans son université. C’est bien, hélas, ce qu’avait entrepris Valérie Pécresse, et ce que poursuit celle qui lui succède à l’enseignement supérieur…
Donnons pour commencer la parole à Colette Buguet-Melançon, qui s’est mobilisée, depuis 1965, au Québec, pour la défense de notre culture. Nos fidèles lecteurs la connaissent pour avoir traité (GR 1019, GR 1051) d’autres sujets. Elle se fonde ici sur son expérience personnelle : professeure de français à Montréal, elle a participé à la création de centres d’aides en français et développé des activités de formation d’enseignants de toutes les disciplines dans le cadre d’une politique de valorisation de notre langue, et ces travaux lui ont valu plusieurs prix, dont celui du Mérite du français décerné par le Gouvernement du Québec.
Plaidoyer pour la langue de Descartes et de Voltaire
Colette Buguet-Melançon, témoigne, par son expérience acquise au Québec, de l’importance de défendre notre culture par l’usage de la langue française.
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Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 5 janvier 2014
En juillet dernier, Guy Evrard faisait deux rencontres dont la coïncidence éclaire les chemins absurdes que peut emprunter la marchandisation de la nature. L’histoire se passe en Alsace, de Zimmerbach à Ammerschwihr, en passant par Kaysersberg (Haut-Rhin), dans un décor à la Hansi, entre vignes et maisons colorées à colombages, débordantes de géraniums. Mais les mêmes mécanismes sont à l’œuvre partout en France et dans le monde. L’idée lui vint de cette fable contemporaine qu’il a eu à cœur de lire à ses amis alsaciens pour s’assurer qu’ils partageaient ses vues :
L’hélicoptère et la cigogne
Guy Evrard, sur le mode de la fable, témoigne de chemins absurdes que peut emprunter la marchandisation de la nature.
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Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 6 janvier 2014
« Je vous en supplie, lisez ça ! », tel est le sous-titre du dernier livre publié par Jean-François Kahn. Jacques Hamon l’ayant lu, il confirme, mais :
À bons entendeurs…
Jacques Hamon, juge plutôt étroites les recettes préconisées par Jean-François Kahn !
Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 6 janvier 2014
Pourquoi les États cèdent-ils devant les banques ?
La Dette, le film à voir et à faire voir parce qu’en cherchant à répondre à ces questions essentielles, il montre comment le privilège de la création de la monnaie a peu à peu été pris en main par les banques au détriment des États.
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Publication : octobre 2013
Mise en ligne : 8 janvier 2014
Feu la souveraineté des peuples
François Chatel montre qu’il faut repenser nos institutions pour que l’oligarchie qui, derrière des démocraties factices, mène le monde, fasse enfin place à la souveraineté des peuples.