Jean-Pierre Mon dénonce deux contre-vérités largement répandues :
non, le déficit de la SNCF n’est pas du au statut des cheminots,
non, un revenu garanti n’incite pas les gens à ne pas travailler.

Guy Gourévitch met son humour et ses compétences au service de la démystification du transhumanisme.

François Chatel situe le choix dont nous avons tous à décider, car laisser faire, c’est choisir le pire pour les générations futures.

Sophie Maloberti et Bernard Blavette interrogent, arguments et chiffres à l’appui, sur l’utilité du numéro 2 du gouvernement.

Michel Berger montre que cette expression, dans le contexte actuel, se confond avec l’intérêt des nantis.