N° 1041 - mars 2004
Voter ?
— Oui, mais sans illusions :
Le problème du chômage est insoluble avec le système monétaire actuel
TROIS
PROPOSITIONS
INNOVANTES
à débattre
par ,
Publication : mars 2004
Mise en ligne : 9 novembre 2006
La tentation de mars
La tentation est grande de jeter l’éponge en refusant d’accomplir son devoir de citoyen ou en mettant un bulletin nul dans l’urne, sous prétexte que celle-ci n’offre aucun espoir. La tentation est grande, et encore plus dangereuse de se laisser séduire par les sirènes de l’extrême droite. Ayant (...)
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Publication : mars 2004
Mise en ligne : 9 novembre 2006
Le manque de revenus décents quand on ne trouve pas à vendre son travail a des conséquences désastreuses dans tous les domaines. Or il n’existe dans l’économie actuelle que deux solutions pour supprimer le chômage : la croissance et la réduction du temps de travail. Mais la croissance ne réussit plus, depuis bientôt trente ans, à enrayer le fléau, alors qu’elle génère des perturbations écologiques irréversibles et qu’elle n’améliore plus le bien-être général. Quant à la RTT, elle crée peu d’emplois, et lorsqu’elle est généralisée, elle provoque des tensions sur le marché du travail et ne répond pas forcément aux souhaits individuels.
Patric Kruissel en conclut qu’il faut sortir de ce système et imaginer d’autres bases à la société afin que les modes de production s’orientent progressivement vers une économie, non plus au service des puissances financières, mais plus respectueuse des Droits de l’Homme, plus équilibrée entre le Nord et le Sud et moins agressive pour notre environnement.
Pourquoi imaginer une autre société ?
Le manque de revenus décents quand on ne trouve pas à vendre son travail a des conséquences désastreuses dans tous les domaines. Or il n’existe dans l’économie actuelle que deux solutions pour supprimer le chômage : la croissance et la réduction du temps de travail. Mais la croissance ne réussit plus, (...)
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Publication : mars 2004
Mise en ligne : 10 novembre 2006
Les gains de productivité ont transformé l’économie, qui a muté d’une économie de rareté à une économie d’abondance, d’une économie dans laquelle l’agriculture était dominante à une économie de services. En 1830, 64 % des travailleurs étaient des paysans, aujourd’hui ils sont moins de 5 % de la population active, et pourtant la communauté européenne impose des quotas, et stocke, aux frais du contribuable, les surplus d’une agriculture hyper-productiviste. Plus de 70 % des salariés travaillent déjà dans le tertiaire.
Il est donc temps de tenir compte d’une telle mutation en posant la question :
Quelle économie souhaitons-nous ?
Les gains de productivité ont transformé l’économie, qui a muté d’une économie de rareté à une économie d’abondance, d’une économie dans laquelle l’agriculture était dominante à une économie de services. En 1830, 64 % des travailleurs étaient des paysans, aujourd’hui ils sont moins de 5 % de la population (...)
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Publication : mars 2004
Mise en ligne : 10 novembre 2006
Maîtrise, licence ou licenciements ?
Petit commentaire sur les feuilles accompagnant nos déclarations d’impôts.
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Publication : mars 2004
Mise en ligne : 10 novembre 2006
Libération
Voici les conclusions de notre étude sur la monnaie, publiée dans nos numéros 1027 à 1038 et qui amènent au développement des trois propositions suivantes :
- Revenir au droit Régalien,
- Fixer objectivement la masse monétaire,
- Séparer la gestion des biens de celle des gens.
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Publication : mars 2004
Mise en ligne : 10 novembre 2006
Lettre à un ami
Cher Gaby, Ton enthousiasme au téléphone m’a fait chaud au cœur : tu venais de lire la série de trois articles consacrés à Karl Marx et Jacques Duboin et ce détour par l’histoire t’avait réconforté et donné des raisons d’espérer. Tu avais également pris plaisir à retrouver dans l’article “Les Sublimes” (...)
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Publication : mars 2004
Mise en ligne : 10 novembre 2006
Le rejet du projet de constitution européenne est une occasion pour remettre à l’ordre du jour la stratégie monétaire de l’union européenne. C’est à cette réflexion que Paul Vila s’est attelé en commençant par rappeler les propositions de Douglas et Duboin, passées sous silence pendant les années 30, quand la crise était plus simple, et qui lui paraissent toujours incontournables. Il aborde ici les problémes de structures posés par le noyau dur de l’Europe que constituent l’Allemagne et la France.
Nouvelle économie, finances : II – L’Europe à deux ?
Le rejet du projet de constitution européenne est une occasion pour remettre à l’ordre du jour la stratégie monétaire de l’union européenne. C’est à cette réflexion que Paul Vila s’est attelé en commençant par rappeler les propositions de Douglas et Duboin, passées sous silence pendant les années 30, quand (...)