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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Quel chômage ? Quel plein emploi ?
LE chômage croit et ne va pas cesser de croître dans les pays industrialisés ». C’est en général sous cette forme qu’est présentée « la crise ». Partant de là, syndicats et partis de gauche réclament avec obstination « le plein emploi » des travailleurs, n’ayant (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Au fil des jours
R. BARRE fait reposer toute sa stratégie économique sur les deux postulats suivants : - pour créer des emplois, il faut que les entreprises recommencent à investir ; - pour que les entreprises investissent, elles doivent disposer de meilleurs (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Bouchons au tertiaire
AU Canada, au manque d’enseignants des deux décennies passées, succède brutalement leur surplus sur le « marché du travail ». Même les permanents des Collèges d’Enseignement Général et Professionnel Supérieur (C.E.. E.P.S.) sont sous le coup de résiliation de (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
À M. Robert Fabre
Tu seras peut-être surpris par ce tutoiement familier, assez inhabituel entre gens de la bonne société, fussent-ils radicaux de gauche. Mais ne cherche pas dans tes souvenirs : nous n’avons jamais gardé les petits cochons ensemble. Si je me permets cette entorse aux (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Quand on ne sait quel argument nous opposer, il arrive souvent qu’on nous traite, c’est si facile, d’utopistes que personne ne prend au sérieux. Bien au contraire, la lecture des journaux montre que de plus en plus nos idées font leur chemin. Elles sont reprises un peu partout.
Avec l’aide de nos lecteurs attentifs à l’actualité, G. Steydlé entreprend ici d’en rendre compte.
Ils y viennent !
Quand on ne sait quel argument nous opposer, il arrive souvent qu’on nous traite, c’est si facile, d’utopistes que personne ne prend au sérieux. Bien au contraire, la lecture des journaux montre que de plus en plus nos idées font leur chemin. Elles sont reprises (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Pourquoi la gauche ne nous suit pas
ON nous dit souvent : même s’ils admettent la justesse et la simplicité de nos raisonnements, bien peu de vos interlocuteurs acceptent de diffuser les principes d’une Economie Distributive et, a fortiori, de militer pour les propager. A quoi (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
À l’Est, rien de nouveau
A première vue, les pays de l’Est paraissent offrir ce que le travailleur occidental recherche souvent désespérément : des emplois. En effet, le chômage y est virtuellement inconnu, à l’exception de ce qu’on appelle le chômage frictionnel, purement temporaire, (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Chronique de l’absurde
LA lecture de la presse et des périodiques spécialisés dans l’étude des phénomènes socio économiques ne laisse pas de renforcer l’impression de confusion, voire d’anarchie, qui préside aux rapports commerciaux des pays occidentaux entre eux et aux rapports (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
L’homme distrait est, et sera, puni
SI, distraitement, vous traversez la route sans regarder à gauche et à droite, vous serez réduit à l’état du hérisson qui agit de même et dont c’est la fin naturelle selon les statisticiens naturalistes contemporains. Si, toujours distraitement, vous posez (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
La monnaie
LA monnaie ? C’est tout simple ! « ...pièce de métal frappée par l’autorité souveraine pour servir aux échanges » (Petit Larousse - 1970). Voilà cependant un sujet qui pourrait permettre de remplir de nombreuses pages, et pour en oser l’étude exhaustive il (...)
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Publication : novembre 1978
Mise en ligne : 8 septembre 2008
Je suis mort pour rien
D’où je vous vois, vous me peinez Quand vous vous penchez sur ma tombe. Triste, je vous regarde prier Sur de nouvelles hécatombes. Je vous vois près du monument, Dans l’éclat de vos chamarrures, Vos (...)