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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 20 août 2008
Au fil des jours
Jean-Pierre MON analyse l’actualité.
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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 21 août 2008
Selon un rapport [1] consacré aux perspectives économiques mondiales « le monde serait au bord de sa pire récession depuis 1945 », mais les attentats anti-américains du 11 septembre n’en sont pas responsables car « le monde se dirigeait vers une crise de toute façon ». L’histoire nous a montré à maintes reprises que lorsque le capitalisme ne sait plus comment sortir d’une crise, il cherche son salut dans la guerre à l’extérieur et dans la répression à l’intérieur. C’est ce qui se passait dans le contexte de guerre froide qui suivit presque immédiatement la fin des hostilités en 1945. Dans un éditorial de La Grande Relève [2], Jacques Duboin expliquait que « le fascisme est la forme autoritaire que revêt le capitalisme en pleine décomposition ». Si on remplace dans ce texte “communistes” par “islamistes”, on retrouve bien des analogies avec la situation actuelle.
De la crise au fascisme ?
Jean-Pierre Mon constate que les attentats dont ont été victimes les états-Unis n’ont fait qu’accélérer la récession et que, pour la contrer, les gouvernements reprennent de vieilles recettes…
Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 24 août 2008
On en apprend de belles …
Les révélations d’un journaliste américain.
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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 24 août 2008
Nous avons attiré l’attention de nos lecteurs sur le remarquable travail qu’accomplit notre ami Patrick Viveret dans le cadre de la mission “Nouveaux facteurs de richesse” que lui a confiée le Secrétariat d’état à l’économie solidaire. La revue bimestrielle Transversales, dans son numéro spécial d’août 2001 a publié ce rapport avec des commentaires et un épilogue dans lequel l’auteur du rapport rappelait que tout manuel d’économie commence par affirmer que pour produire il faut associer deux facteurs principaux de production que sont le capital et le travail. « C’est sur cette évidente apparence, poursuivait-il, que… libéralisme et marxisme ont construit… l’idée d’une infrastructure économique déterminante. Même le courant « abondanciste », issu des travaux de J. Duboin,… partage ce postulat… Pourtant, cette apparente évidence doit être réinterrogée à partir de plusieurs données ». M-L Duboin est tellement d’accord sur la nécessaire révision de certains postulats à la lumière de données récentes, qu’elle y apporte ici sa contribution par quelques réflexions :
L’abondance, une malédiction ?
Marie-Louise Duboin, revient sur l’analyse proposée par P. Viveret des notions de valeur, richesses et société d’abondance et rappelle ainsi les fondements des propositions distributistes.
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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 26 août 2008
Alain Lavie a entrepris de montrer ce que les travaux d’Henri Laborit apportent d’éclairages sur les comportements humains et d’arguments aux distributistes. Après avoir montré, dans un premier article, que la dictature de l’Avoir s’est établie par l’instauration de hiérarchies de valeurs assurant dominance et gratification à certains au détriment des autres, il déduit que ramener l’Avoir à un rang subalterne revient à supprimer ces hiérarchies et à satisfaire nos deux instincts, plaisir et dominance, d’une autre manière :
II. Éviter que l’Avoir se fasse l’être
Alain Lavie poursuit son exposé des travaux d’H.Laborit : il est possible de supprimer certaines hiérarchies et de satisfaire autrement les instincts de plaisir et de domination.
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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 30 août 2008
La guerre au vivant ?
Dominique Fernandez s’appuie sur le livre coordonné par J-P Berlan pour démonter l’absurdité qu’emploient les industriels des sciences de la vie pour présenter leurs trouvailles douteuses.
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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 30 août 2008
Après avoir analysé, dans nos précédents numéros, le livre de R. Lenglet et B. Topuz, C. Echkert se demande si, trois ans après cette parution, le nombre croissant de scandales sanitaires a fini par décider les autorités à jouer leur rôle. Ce sont en effet les politiques « qui légifèrent et réglementent, qui sanctionnent, qui interdisent ou laissent faire » [1].
Les exemples d’actualité récente qui suivent prouvent qu’il n’en est rien. Puisque le système libéral actuel engendre tant de dégâts sanitaires par la recherche du profit immédiat, il reste alors à examiner, pour en finir avec cette série d’articles, si un système économique distributif et démocratique ne serait pas plus salutaire.
Les industriels contre les citoyens
Caroline Eckert fait le point des mesures que les autorités auraient dù prendre, mais n’ont pas prises, depuis trois ans que Lenglet et Topuz les ont mises en évidence, pour faire cesser les scandales sanitaires dont sont victimes les consommateurs du fait d’une industrie qui en profite… Elle montre pourquoi un tel scandale ne serait pas possible en économie distributive.
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Publication : décembre 2001
Mise en ligne : 30 août 2008
Un autre aspect de l’économie distributive concerne chaque citoyen personnellement : le fait d’être assuré de recevoir réglièrement un revenu décent lui permet de déterminer son activité en fonction de ses aspirations et de son talent. Le témoignage que Roland Poquet rapporte ci-dessous permet de complèter au niveau individuel la comparaison avec le système actuel :
Nicole
Roland Poquet prend un exemple vécu pour souligner les avantages qu’apporterait un revenu minimum garanti.