Que nos fidèles lecteurs veuillent bien me pardonner : la mort de mon mari, Jean Pierre Mon, m’a rendue incapable d’écrire et même d’assurer la mise en pages des articles envoyés par nos fidèles rédacteurs.
Soixante ans de vie commune, partageant les mêmes activités, ayant naturellement la même façon de voir les êtres et les choses, ne s’effacent pas comme on tourne la page d’un livre…
Mais il faut tenir. Merci de m’aider, par leurs écrits, à tous ceux qui tiennent à ce que cette publication continue, après 86 ans, à essayer de faire réfléchir, à avoir l’esprit critique sur l’actualité, à penser qu’imaginer une société humaine, débarrassée de la croyance que le capitalisme est une loi de la nature, donc indépassable et éternelle, c’est être réaliste et non pas être un simple d’esprit… ou un utopiste à l’imagination débordante !!