Ce mois de janvier laissera dans les mémoires le choc des assassinats perpétrés par des terroristes, armés pour tuer comme des automates. La réaction des gouvernements sera probablement, au nom de la sécurité, de répondre à la violence par la violence, en renforçant les forces de police et en multipliant les contrôles et les interdictions liberticides…

Comme après le 11 septembre, nous pensons que ce choc devrait être l’occasion de chercher à comprendre comment des jeunes peuvent être amenés à n’avoir pas d’autre perspective de vie que de mourir en commettant de tels crimes, et se prenant pour des martyres. Pour aider à cette réflexion, voici le texte envoyé par Philippe Derudder, choisi parmi beaucoup d’autres pour la concision avec laquelle il pointe l’essentiel :