Le pouvoir supranational
par
Publication : novembre 1988
Mise en ligne : 9 juin 2009
Comme nous l’avions promis dans le précédent
numéro (1), abordons aujourd’hui, sans bien entendu épuiser
le sujet, la question des organismes occultes qui successivement ou
concurremment prétendent et réussissent quelquefois à
imposer leurs directives aux nations.
Ces informations sont peu connues (2), au moins en France, car les périodiques
de grande diffusion répugnent à informer leurs lecteurs
sur ces problèmes fondamentaux. Ils préfèrent se
délecter des petites phrases de nos chers politiciens et des
potins de la vie hexagonale. L’explication de ce silence réside
probablement dans la censure implicite et inavouée exercée
par les puissances financières qui les contrôlent, comme
nous le verrons plus loin. Les journalistes dits de gauche ou considérés
comme tels (3) se taisent. Les éléments les plus connus
dans le monde francophone se trouvent dans des livres écrits
par des universitaires ou des transfuges des services secrets, ainsi
que dans des publications maurrassiennes dont il convient peut-être
d’accepter les citations "in extenso" mais de se méfier
lorsqu’elles se lancent dans des commentaires subjectifs.
En effet, les institutions dont nous allons parler sont l’objet de deux
critiques principales. Une de "gauche" qui dénonce
la dictature de la finance et combat leur élitisme ainsi que
leur absence de démocratie. Une de "droite" qui s’insurge
contre leur pouvoir supranational. Aux Etats-Unis, la polémique
est publique depuis au moins quinze ans et la matière est abondante ;
comme d’habitude rien ou presque n’échappe à la presse
américaine. Les Français attachés à la défense
des droits de l’homme s’attristeront sûrement, une fois de plus,
en constatant la carence de leurs moyens d’information dans ce domaine.
Le "Council on Foreign Relation" (CFR) ou Conseil des Relations extérieures.
Le CFR, première en date de ces sociétés secrètes, est entièrement américain. Il fut fondé en 1921 par le banquier Morgan, mais s’illustra surtout dans la création du système économico-politique d’après-guerre : accords de Bretton Woods et de Dumbarton Oaks (1944), créations de l’OTAN et des Nations-Unis, lancement de plan Marshall (4). Composé actuellement d’environ 1400 à 2000 affiliés - selon les sources - parmi les milieux de la présidence, des affaires, de la religion et de la CIA, il exerce une influence prédominante sur le gouvernement des Etats-Unis (5). Depuis sa fondation, tous les futurs présidents étaient, avant leur élection, membres du CFR. Les relations internationales de ces personnalités permettent d’exercer un contrôle étroit sur les Etats occidentaux, soit directement, soit par l’intermédiaire d’organismes, comme le Fonds Monétaire International ou la Banque Mondiale, par exemple. En 1950, un financier lié au CFR, Paul Warburg (6) déclara devant les sénateurs américains : "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s’il sera créé par conquête ou par consentement". L’animateur et soutien financier du CFR est David Rockfeller, PDG de la Chase Manhatan, 3e banque du monde ; l’un de ses principaux soutiens : Henry Kissinger.
Le Bilderberg Group (B.G.) ou Club de Bilderberg
Le véritable fondateur de ce "Group"
fut Joseph H. Retinger (7). L’idée naquit durant la seconde guerre
mondiale. D’abord sous la forme d’une union fédérale européenne,
remède aux faiblesses du continent après guerre.
Mais bientôt, après un voyage aux Etats-Unis en 1952, Retinger
conçoit la nécessité d’associer américains
et européens. Après avoir consulté Van Zeeland,
Ministre des affaires étrangères de Belgique, et Paul
Rykens, Président de la société Unilever, il fut
décidé de porter à la tête du groupe le prince
Bernhard de Lippe. Furent sollicités des hommes politiques connus
dont, notamment, les premiers ministres : de Gasperi, Guy Mollet et Antoine
Pinay, ainsi que de nombreux hauts banquiers et présidents de
grandes multinationales. Parmi les parrains figuraient évidemment
l’inévitable David Rockfeller, "qui ne cessera de figurer
dans toutes les instances qui s’assignèrent pour tâche
d’établir un nouvel ordre mondial" (7) et son frère
Nelson, exgouverneur de New-York et VicePrésident des Etats-Unis.
La réunion constitutive eut lieu en Mai 1954 à l’hôtel
Bilderberg qui donna son nom au club, dans la ville hollandaise d’Osterbeck.
Le prince est élu président, il est secondé par
un comité central de dix membres, qui agira comme une sorte de
"gouvernement multinational" (8). "Malgré leurs
dénégations, les Bilderberger’s constituent un gouvernement
mondial coiffant les gouvernements nationaux" (9). Les réunions
se succèdent ensuite annuellement : Barbizon (1955), Fredensborg
(Danemark) (1956), SaintSimon Island (E.U’) et Finggi (Italie) (1957),
Buxton (Angleterre) (1958), Yesilkov (Turquie) (1959). Burgenstock (Suisse)
(1960), etc...
Peu de documents sont diffusés sur les premières années
d’existence du groupe. Un peu plus sur les années suivantes.
Puis le secret pèse de nouveau. "Le groupe... poursuit encore,
en 1985, ses activités" (7).
Le secret du financement des opérations est d’autant plus difficile
à percer que les fonds passent par des sociétés-écrans
et des banques situées dans des pays discrets (Bahamas, Vaduz,
Luxembourg, Suisse). "... Durant les premières années
de son existence, le club de Bilderberg dispose d’un budget annuel de
250.000 dollars, chiffre qui, avec les années, passera à
plusieurs millions de dollards (20 à 25 selon les estimations...)
provenant en grande partie de sociétés multinationales
et des services secrets..." (8).
Entre 50 et 400 personnalités membres et invités assistent
aux réunions. Retinger déclarait que les invitations seraient
adressées seulement à des "gens importants"
(10). Effectivement, elles le furent. Parmi les Français, nous
citerons notamment en plus de Guy Mollet et Antoine Pinay Pierre Dreyfus
(Renault), Jacques Rueff, Pierre Uri, Jacques Baumel, Albin Chalandon,
Roger Duchet, Olivier Guichard, Maurice Herzog, Louis Leprince-Ringuet,
Jean Letourneau, Jean Lecanuet, Georges Pompidou, Lionel Stoléru,
mais aussi Jacques Attali, Pierre Cot, Gaston Defferre, Maurice Faure,
Edgar Faure, André Fontaine et Michel Rocard. Les uns sont des
membres à part entière, les autres de simples invités,
en une occasion ou une autre. I l est permis de se demander si la participation
de certains, qui sert d’alibi et de caution à cette oligarchie,
est motivée par la curiosité, l’ambition, la recherche
des honneurs, l’intérêt intellectuel ou matériel.
La question, irritante, se pose toujours. D’autant plus que l’organisation
du B.G. en cercles concentriques fait des invités de simples
comparses, les vraies décisions étant prises au sein du
Comité exécutif qui leur est inacessible. La liste complète
de présences ne peut pas être publiée dans le cadre
de notre revue, mais le lecteur peut se reporter pour cela aux ouvrages
cités. Qu’il suffise d’écrire que toute la haute banque,
les affaires, les industries d’armement, l’Etat-Major militaire, les
grandes associations, les journaux importants, les syndicats et les
partis furent représentés au moins lors d’une rencontre.
Les questions traitées paraissent banales et les débats
restent confidentiels "...Il n’était pas nécessaire,
ni souhaitable que le simple citoyen connût le rôle que
jouaient ces oligarques dans l’élaboration d’une politique étrangère
qu’il voulait croire idéaliste et généreuse"
(7). Retinger l’avait affirmé : "Les décisions politiques
de grande envergure sont rarement comprises par le grand public (11)..."
"...Le simple citoyen, pour sa part, ne savait rien de ces débats
complexes. Il avait pouvoir sur la création, dans sa ville, d’une
nouvelle école ou sur la gestion d’un hospice - ce qui était
tout de même de la démocratie. Il n’en avait aucun quand
il s’agissait de l’avenir du monde qui,’ pourtant, le concernait encore
davantage..." (7).
Les événements dans lesquels sont intervenus, au moins
les responsables du B.G., afin de favoriser l’impérialisme américain
sont longuement décrits par les auteurs cités. Nous n’en
donnerons ici qu’une liste limitée : déstabilisation de
De Gaulle (candidature de Monsieur X : Gaston Defferre, utilisation de
mai 1968), conception du traité de Rome et entrée de la
Grande-Bretagne dans le Marché Commun, guerre des phosphates
au Sahara, admission de la Chine Populaire à l’O.N.U. (pour faire
échec à l’URSS), enfin affaire Lockheed.
Dans cette dernière opération, sont compromis toute une
série de personnalités, de groupements et de syndicats
ayant reçu des pots de vin du grand constructeur d’avions militaires.
Au premier rang, le prince Bernhard de Lippe. La raison de se scandale
est controversée ; certains soutiennent que le prince aurait proposé
de museler le contrôle parlementaire et d’instituer une monarchie
héréditaire régnant sur l’Europe Unie, d’autres
pensent que son éviction a fait suite à sa "trahison"
de Lockheed en faveur de son concurrent Northrop. Toujours est-il qu’il
est obligé, le 26 août 1976, de démissionner de
son poste ainsi que de toutes les fonctions officielles qu’il détenait
en Hollande. Il est remplacé à la tête du B.G’ par
David Rockfeller lui-même.
The Trilateral Commission (T.C.) ou Commission trilatérale
Le groupe de Bilderberg trop influencé par
le complexe militaroindustriel et l’anticommunisme "primaire"
de certains de ses membres influents devenait gênant. Le scandale
Lockheed et l’affaire du Watergate vinrent à point pour favoriser
une tendance plus modérée. Les transnationales reconverties
à la haute technologie avaient besoin de stabilité.
Un aristocrate, d’origine polonaise comme Retinger, et ancien professeur
à Harvard : Zbiegniew Brzezinski fut l’inspirateur d’une nouvelle
institution qui prit en compte l’ascension foudroyante du Japon dans
les années 1970. A l’Europe et aux Etats-Unis se joignit donc
ce dernier pays dans une ère qui devenait trilatérale
(4).
La T.C. fut fondée en juillet 1972 dans une des propriétés
de David Rockfeller, toujours lui, par une équipe de 17 personnes.
Elle s’élargit bientôt à plus de 300 personnalités
dont les 40 grands responsables américains présents dans
tous les instituts où s’élabore la politique mondiale,
loin des contraintes de la démocratie. Lors de la réunion
de Washington en 1984, la Commission a été reconduite
jusqu’en 1988. Elle est gouvernée par trois présidents :
David Rockfeller (Amérique du Nord), Takeshi Watanabe (Japon)
et Georges Berthoin (Europe), trois vice-présidents respectivement :
Mitchell Sharp, Nobuhiko Ushiba et Egidio Ortona et trois directeurs :
Charles B. Heck, Tadashi Yamamoto et Paul Révay.
La Trilatérale est plus ouverte et publie des documents d’information
dont deux brochures (12) et un trimestriel : Trialogue qui cessa toutefois
de paraître en octobre 1984. Il fut convenu que tout membre accédant
à un poste officiel dans son pays démissionnerait de la
T.C..
Dès le début, la Commission précisa, dans "Questions
et réponses" que nul "...membre ou auteur, engagé
dans un groupe d’étude (n’a) proposé que nos gouvernements
nationaux soient dissous et que soit constitué un gouvernement
mondial... ". Tout le monde, même les mondialistes, est d’accord
sur la première partie de la phrase... quant à la seconde,
le lecteur en jugera.
La T.C. examina lors de ses nombreuses réunions générales
des rapports établis par beaucoup d’excellents experts sur les
questions à l’ordre du jour. Ces rapports sont publiés
avec la mention classique expliquant qu’ils n’engagent que la responsabilité
de leurs auteurs et non elle-même. Néanmoins, l’un de ces
textes diffusé en 1975 et rédigé par Michel Crozier,
Samuel P. Huntington et Joji Watanuki provoqua de telles réactions
qu’il ne fut pas traduit en français et sa diffusion fut interrompue
(13). Nous donnerons quelques extraits de la partie rédigée
par S.P. Huntington et relative à la démocratie... aux
Etats-Unis : "Plus un système est démocratique, plus
il est exposé à des menaces intrinsèques... Au
cours des années récentes, le fonctionnement de la démocratie
semble incontestablement avoir provoqué un effondrement des moyens
traditionnels de contrôle social, une délégitimation
de l’autorité politique et une surcharge d’exigences adressées
au gouvernement qui excèdent sa capacité de les satisfaire...
Le fonctionnement efficace d’un système politique démocratique
requiert une certaine quantité d’apathie et de non engagement
de la part de certaines individualités et de certains groupes...
Le danger réside dans la surcharge du système politique
par des demandes qui étendent ses fonctions et sapent son autorité...
l’autorité fondée sur les hiérarchies, la compétence
et la fortune... a été soumise à une rude attaque...
(il faut redouter le danger que représente)... la dynamique interne
de la démocratie elle-même, dans une société
hautement scolarisée, mobilisée et participante... Un
défi important est lancé par les intellectuels et par
les groupes proches d’eux qui affirment leur dégoût de
la corruption, du matérialisme et de l’inefficacité de
la démocratie, en même temps que de la soumission des gouvernements
démocratiques au capitalisme de monopole... (les journalistes)
tendent à s’organiser pour résister à la pression
des intérêts financiers et gouvernementaux... (Aussi faut-il
agir pour que le gouvernement conserve) le droit et la possibilité
pratique de retenir l’information à la source... Quelque chose
de comparable (à la loi antitrust)... apparaît maintenant
nécessaire en ce qui concerne les médias".
Une institution mondiale qui prend en compte de tels rapports n’est-elle
pas inacceptable ? Car sa puissance ne fait aucun doute, ni son pouvoir
supranational. Voici, là aussi, une liste succinte des opérations
qu’elle a suscitées : "création", puis élection
de Jimmy Carter à la présidence des E.U., nomination de
nombreux Trilatéralistes aux postes clés (après
leur "démission" de la T.C.), interventions puissantes
et continues dans la crise du pétrole, recyclage des pétrodollars
et dette du tiers-monde (14), contrôle de l’activité économique
par le capital transnational au moyen de la Banque Mondiale (BIRD),
abandon des gouvernements dictatoriaux et ouverture à l’Est (avec
l’espérance inouïe d’un ralliement de l’URSS), acceptation
des gouvernements sociaux-démocrates à condition qu’ils
ne sortent pas du système...
Comme on le voit, la politique de la T.C. est plus modérée
et plus insidieuse que celle de Bilderberg. Elle n’est pas moins dangereuse.
La T.C. est également habile à se constituer des alibis
de centre-gauche. C’est ainsi que l’on trouve parmi ses membres et pour
se limiter aux Français, à côté de Michel
Albert (AGF), Raymond Barre, Marcel Boiteux (EDF), Paul Delouvrier,
Jean Deflassieux (ancien président du Crédit Lyonnais),
Jacques de Fouchier (Paribas), Jean Philippe Lecat, Roger Martin (Saint-Gobain),
Didier Pineau Valencienne (Schneider), Edmond de Rothschild, Roger Seydoux,
etc... les noms plus surprenants de Michel Crépeau et René
Bonety (CFDT). Certaines personnalités "cautions" ont
paru bien nécessaires à laTrilatérale comme à
Bilderberg. Il apparait toutefois que le style plus intellectuel de
la T.C. justifierait certaines participations.
Elles, les autres et leurs rapports
En dehors des organisations citées, d’innombrables
groupements plus ou moins officiels ou officieux gravitent dans les
sphères du pouvoir aux Etats-Unis et interviennent aussi bien
dans les affaires extérieures qu’intérieures. Citons-en
quelques-unes : Committee for the Free World, Brookings Institution,
Roundtable Business Council, World Business Council, Political Action
Committees, etc... (7). I I faut compter aussi la fameuse Central Intelligence
Agency (CIA) dont la liste des exactions aux Etats-Unis et à
l’étranger fut publiée en 1975 (15) et le Fédéral
Bureau of Investigation (FBI). Nous ne pouvons entrer ici dans le romanfeuilleton
des activités d’espionnage mais celles de la CIA interfèrent
avec ou servent parfois les orientations du groupe de Bilderberg. Nous
ne parlerons pas non plus des sectes ou de l’Opus Dei dont le rôle
supranational n’est pas négligeable.
Il est évident que les luttes d’influence à l’intérieur
des organisations citées sont virulentes. Les colombes et les
faucons sont en controverse permanente... Encore plus violentes les
divergences entre elles ; nous l’avons vu, en particulier lors de la
création de la T.C., bien que certains membres dirigeants ou
influents appartiennent aux deux groupes.
Malgré le peu d’informations sûres disponibles, l’on comprend
mieux pourquoi, par exemple, le parti socialiste arrivé au pouvoir
n’a pu concrétiser sa promesse de rupture avec le capitalisme.
En ce qui concerne, plus modestement, nos propres tentatives, l’on saisit
comment les grands médias ainsi infiltrés. nous refusent
toute publication ou presque.
Mondialisme
Un gouvernement mondial n’existe pas encore, en dépit
des efforts de certains, d’opinions politiques et d’intérêts
diamétralement opposés. En raison des dangers de dérive
autoritaire et de la faiblesse des démocrates, ce gouvernement
est-il, d’ailleurs, souhaitable dans l’immédiat ?
Il n’est toutefois pas douteux que des institutions mondiales occultes
à pouvoirs supranationaux se sont constituées. Affirmons-le,
ces organismes, ne nous conviennent pas. Ils sont élitistes,
antidémocratiques et ne servent en fait que l’impérialisme
américain et les intérêts du grand capitalisme international.
Dans le cas où nous parviendrons à convaincre un nombre
élevé de nos concitoyens que l’instauration d’une économie
distributive s’impose, soit dans notre pays, soit, à l’avenir,
en Europe, il est sûr que nous nous heurterions à l’opposition
résolue et toute-puissante de ces groupements. Par conséquent
les positions sont claires : les vraies mondialistes lutteront contre
elles, selon leurs moyens.
Est-ce à dire que nous sommes opposés au mondialisme dont,
nous le savons, beaucoup de distributistes sont aussi partisans : certes
pas. En tant qu’ancien militant du centre français d’enregistrement
des Citoyens du Monde, l’auteur de ces lignes reste fidèle à
sa revendication d’institutions mondiales démocratiques, seules
garantes possibles de la paix et donc de la survie de l’espèce.
Mais il nous faut combattre toute tentative ou commencement d’instauration
de pouvoirs transnationaux dictatoriaux. Seules des organisations démocratiquement
autogérées depuis les cellules de base jusqu’au plan mondial
nous laisseraient l’espoir d’une évolution vers le socialisme
distributif.
(1) Voir "L’économie à l’Institut
d’Etudes Mondialistes" dans G.R. n° 871.
(2) Voir "Qui ment ? Qui trompe les Français ?" G.R.
n° 754, le "Monde Diplomatique" de Nov. 1976, et certains
extraits du "Canard Enchaîné".
(3) Confusion mise en évidence par le passage direct de F.O.
Giesbert du "Nouvel Observateur" au "Figaro" !
(4) "The Trilateral era" par Jeremiah Novak - Worldview août
1980.
(5) Voir "Le veau d’or est toujours debout" d’Henry Coston.
(6) Voir "Un homme d’influence" G.R. n°859.
(7) D’après "La démocratie contrariée"
de Georges-Albert Astre et Pierre Lépinasse - 1985. d’après
"La démocratie contrariée" de Georges-Albert
Astre et Pierre Lépinasse - 1985.
(8) "Les vrais maîtres du monde" de Gonzalez Mata-1980.
(9) Revue italienne "Europeo" citée dans (8).
(10) Etude de PeterThomson dans "Trilateralism" ouvrage collectif
cité dans (7).
(11) The US Congressional Record cité dans
(12) Questions and answers (Questions et réponses), 1983- TheTrilateral
commission -1984.
(13) "The crisis of democracy "Report on the governability
of Democracies to the Trilateral Commission - New York City Press -
1975.
(14) "The New Internationalisa" Hopps et Randall - février
1979.
(15) "Commission on CIA’s activities within the United States"
1975.