G.-H. BRISSÉ
Articles de cet auteur
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Mise en ligne : 15 février 2007
Un dessin publié par le quotidien Le Monde faisait remarquer, avec beaucoup d’esprit, que le meilleur hommage que les autorités françaises pouvaient rendre à l’Abbé Pierre aurait dù être de réaliser ce qu’il demandait. Elles ont préféré une grand’messe à Notre Dame et une loi sur le logement “opposable”. Et puis ??
Un droit de plus… et puis ??
Gérard Henri Brissé constate que toutes les lois annoncées, et toujours à grand fracas, n’ont pas répondu aux appels réitérés par l’Abbé Pierre. Il exprime quand même aux candidats ce qu’il voudrait les voir faire.
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Mise en ligne : 31 janvier 2007
Les dernières nouvelles de demain !
Gérard Henri Brissé énumère bon nombre de mesures qu’un candidat devrait s’engager à prendre.
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Publication : mars 2002
Mise en ligne : 27 janvier 2007
C’est un périple planétaire que vient de faire le journaliste G-H Brissé. Il a pu constater que cette idéologie néolibérale qui fut imposée sous l’administration Reagan, a orienté l’économie vers la seule façon qui reste de tirer profit des clients encore solvables, le gadget et le gaspillage, accélérant le pillage des ressources et la désocialisation du monde. En cette période électorale, il entend faire savoir que sa conviction en sort renforcée que l’euro n’y change rien et que ce scandale ne prendra fin qu’avec une économie distributive.
Sur un scandale
Gérad-Henri Brissé revient d’un périple planétaire, scandalisé par les dégâts du néolibéralisme et plus convaincu que jamais de l’urgente nécessité d’une économie distributive.
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Publication : avril 2002
Mise en ligne : 21 janvier 2007
Pour une France fédérale
Le décalage croissant entre l’optimisme tragique des “sortants” et les préoccupations quotidiennes de leurs électeurs dénonce l’hypercentralisation et la complexité des chicanes administratives.
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Publication : juin 2002
Mise en ligne : 20 janvier 2007
Le gâchis
D’un côté un catalogue de revendications catégorielles, de l’autre des promesses insensées, toutes ces briques ne constituent pas une maison. Le réveil, après élections, risque d’être douloureux.