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Mise en ligne : 30 juin 2007
Au fil des jours
Paul Vincent a écrit une chronique au cours de la campagne présidentielle,
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Le triomphe de la com’
Marie-Louise Duboin s’attend à ce que les électeurs qui ont été séduits par l’art de la com’ du candidat Sarkozy, aient la surprise du Chef quand celui-ci disposera du pouvoir politique absolu. Le PS a bien mérité sa déconfiture.
Mais quand les citoyens vont-ils enfin élaborer, sans attendre les partis politiques, un vrai projet de société pour le long terme ?
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Dans sa lettre d’envoi du texte qui suit, et comme pour s’excuser du fait qu’il ne date pas d’hier (il a été écrit en 2005), Jean Mathieu a ajouté ceci : « même peu suivis d’effets, les propos inspirés par Jacques Duboin offrent la consolation d’être toujours d’actualité ». Qu’on en juge :
Examen de conscience
Jean Mathieu constate que les socialistes doivent encore un échec au fait qu’ils n’ont toujours pas tiré la leçon du chômage.
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Sarkozy l’Américain
Jean-Pierre Mon explique comment le candidat Sarkozy doit sa victoire à une désinformation programmée depuis longtemps.
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Le grand malentendu
Gérard-Henri Brissé déplore l’échec de la candidate Royale, qu’il attribue au fait que la campagne-spectacle n’a pas été à la hauteur des problèmes à résoudre.
Mise en ligne : 30 juin 2007
Ce sont les investissements financiers, dans telle entreprise, tel secteur ou tel domaine d’activité plutôt que dans tout autre, qui déterminent l’orientation de l’économie. Or ces choix sont faits, actuellement, par ceux qui “placent” les capitaux. Et ils en décident sur des critères de rentabilité, exclusivement.
Il est temps que s’ouvre enfin un débat pour décider qui doit avoir le pouvoir d’exercer ces choix, qui sont essentiels pour l’avenir de la société humaine : ce pouvoir doit-il rester hors des responsabilités politiques ou bien doit-il être démocratiquement partagé ?
Et si la voie démocratique doit être préférée à la main invisible du marché, comment organiser ce partage ?
Dans son livre “Mais où va l’argent ?” M-L Duboin décrit le rôle aujourd’hui dévolu au pouvoir financier et fait trois propositions. C’est donc autour du contenu de ce livre que nous invitons nos lecteurs à débattre dans nos colonnes.
Pour qui pousse le blé ?
Ce sont les investissements financiers, dans telle entreprise, tel secteur ou tel domaine d’activité plutôt que dans tout autre, qui déterminent l’orientation de l’économie. Or ces choix sont faits, actuellement, par ceux qui “placent” les capitaux. Et ils en décident sur des critères de rentabilité, (...)
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Un lecteur de Belgique, L. G. estime que dans le premier chapitre de ce livre, la description des trois formes de la monnaie et de leur évolution historique, n’est pas utile parce que, les gens lisant de moins en moins, il faut aller à l’essentiel.
Les trois formes de la monnaie
Les raisons pour lesquelles leur histoire est évoquée dans le premier chapitre du livre Mais où va l’argent ?
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Une bastille à prendre
Marie-Louise Duboin réussit un tour de force. Aborder un sujet aussi aride que la monnaie avec pédagogie est le pari réussi de la directrice de la revue la Grande Relève. Dans ce livre, Mais où va l’argent ? publié aux très dynamiques Éditions du Sextant, elle pose une question essentielle : qui décide (...)
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Un lecteur de Serralongue, dans les Pyrénées Orientales, R. S., suggère qu’il fallait présenter ce livre aux médias, radio, télé, etc.
Courrier d’un lecteur
Un lecteur de Serralongue, dans les Pyrénées Orientales, R. S., suggère qu’il fallait présenter ce livre aux médias, radio, télé, etc. Cela a été fait par l’éditeur, avant même la sortie du livre en librairie. Parmi les journalistes à qui les éditions du Sextant ont adressé ce livre, en service de presse (...)
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Mise en ligne : 30 juin 2007
Bernard Kouchner expliqué pour les nuls :
B. Kouchner expliqué pour les nuls.
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Mise en ligne : 30 juin 2007
L’un des trois principes fondamentaux de l’économie distributive ou économie de partage, fixe la masse monétaire créée pendant une période donnée à l’équivalent de la masse des productions créées et mises en vente au cours de cette même période. De cette masse disponible sont extraits les moyens de financer, pendant la période suivante, une nouvelle production et le fonctionnement des services publics. Le reste constitue la masse totale des revenus individuels.
Un autre principe de cette économie est que chaque individu doit recevoir, de la naissance à la mort, un revenu social suffisant pour pouvoir en vivre décemment, donc librement.
Or, dans nos pays équipés, il faut prévoir que cette masse disponible pour les revenus individuels puisse excèder le financement du revenu social garanti. La répartition d’un “supplément” disponible pose alors un problème politique. Il peut servir, comme le suggèrait déjà Jacques Duboin, à augmenter égalitairement, en tout cas à âge égal, le montant du revenu social individuel. C’est cette politique que défendait François Châtel dans la GR 1073 de février dernier, estimant que c’est la marque d’une société évoluée que ses membres soient capables d’assumer les tâches nécessaires sans y être incités par un surplus de revenu. Mais Caroline Eckert, dans la Tribune libre de la GR 1075 d’avril, soulevait alors la question des tâches pénibles, inintéressantes mais nécessaires : comment les assurer en économie de répartition sans l’appât d’une prime ? À quoi Éric Goujot répondait (GR 1076) qu’admettre l’idée d’un “salaire” additionnel c’est retomber dans la compétitivité et les surenchères, et que mieux valait donc compenser des efforts particulièrement courageux par plus de temps libre. François Châtel revient ici sur le principe de l’égalité des droits économiques :
À propos de l’égalité des revenus.
François châtel revient sur un problème politique en économie distributive.