M. BERGER
Articles de cet auteur
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Publication : avril 2018
Mise en ligne : 20 juillet 2018
Faut-il s’inquiéter des bulles spéculatives ?
Michel Berger entreprend d’expliquer, par une équation simple empruntée aux économistes classiques, pourquoi c’est la spéculation permise par la monnaie capitaliste qui accroît les inégalités et bloque les réformes -vraiment nécessaires parce qu’utiles à tous.
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Publication : mars 2018
Mise en ligne : 7 juillet 2018
Vous dites : « intérêt général » ?
Michel Berger montre que cette expression, dans le contexte actuel, se confond avec l’intérêt des nantis.
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Publication : février 2018
Mise en ligne : 24 juin 2018
Autorité et dépendance
Michel Berger tente de répondre aux questions qui se posent quant à la dépendance de certains, soumis à l’autorité des autres. Bien des soumissions injustifiées ont été éradiquées, mais de nouvelles ne sont-elles pas menaçantes ?
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Publication : décembre 2017
Mise en ligne : 16 mars 2018
La maintenance des services publics étant encore menacée par les diminutions d’impôts, Michel Berger évoque l’idée que le gouvernement pourrait prendre une mesure simple, qui lui donnerait une certaine marge de manœuvre financière …
Alors, que faire ?
Michel Berger suggère au gouvernement trois propositions dont il montre qu’elles permettraient d’améliorer la situation.
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Publication : novembre 2017
Mise en ligne : 7 février 2018
Voilà six mois que le nouveau Président de la République française applique “sa” politique, celle qu’il avait annoncée au début de cette année, au cours de sa campagne électorale. Sans opposition ni hésitation, et souvent dans le secret jusqu’au dernier moment (la concertation annoncée n’étant en général qu’apparence), cette application se fait à vive allure, ses effets sont donc déjà sensibles.
Passant en revue les “pour” et les “contre” de cette politique, avec un indéniable souci d’objectivité (il a voté pour Emmanuel Macron au second tour des présidentielles), Michel Berger en fait ici le bilan :
Bonjour ma déception !
Michel Berger, en votant pour E.Macron au second tour des législatives en avait espéré une sortie progressive du capitalisme, croyant qu’il partageait certains de ses objectifs écologiques, européens, et même économiques avec la création d’emplois nouveaux. Après six mois d’application de son programme, il est déçu et il explique pourquoi.